culture & art de vivre, autrement

Stimento
  • La Une
  • Brèves
  • Entretien
  • Cinéma
  • Livres
  • Saveurs
  • Ici & Ailleurs
  • Musique
  • Dans le rétro
  • Tous les articles
Reading: “Megalopolis”, “Riverboom”,“Les Belles Créatures”, “Vivre, Mourir, Renaître” en salle le 25 septembre 2024
Partager
Aa
StimentoStimento
  • La Une
  • Entretien
  • Cinéma
  • Brèves
  • Ici & Ailleurs
  • Saveurs
  • Livres
  • Tous les articles
Search
Follow US
Made by ThemeRuby using the Foxiz theme. Powered by WordPress
Tous les articles > Cinéma > “Megalopolis”, “Riverboom”,“Les Belles Créatures”, “Vivre, Mourir, Renaître” en salle le 25 septembre 2024
CinémaLa Une

“Megalopolis”, “Riverboom”,“Les Belles Créatures”, “Vivre, Mourir, Renaître” en salle le 25 septembre 2024

Dernière modification le 16/03/2025 à 12:59
Par Vincent RAYMOND Publié le 23/09/2024
Partager
Temps de lecture : 16 min.
"Qui est partant pour une trilogie ?" / Photo : © Phil Laruso
"Qui est partant pour une trilogie ?" / Photo : © Phil Laruso

Une métaphore prophétique, une épopée journalistique, une enfance nordique et une chronique mélodramatique se partagent l’affiche cette semaine. Entre autres…

Sommaire
Megalopolis de Francis Ford CoppolaRiverboom de & avec Claude BaechtoldLes Belles Créatures de Guðmundur Arnar GuðmundssonVivre, Mourir, Renaître de Gaël Morel

Megalopolis de Francis Ford Coppola

Dans l’orgueilleuse cité de New Rome, César Catilina — un architecte aussi visionnaire qu’utopiste — se heurte à l’opposition de Franklyn Cicéron, le maire de la ville et à la jalousie de son cousin Clodio, un débauché impatient d’hériter de son grand-père, le banquier Hamilton Crassius III. Lorsque César entame une relation professionnelle, puis intime, avec la fille du maire Julia Cicéron, l’adversité se fait plus farouche encore. Car l’architecte doit compter contre son projet “Megalopolis” la rancune de Wow Platinum, une ex conquête ayant pour se venger décidé d’épouser le richissime Crassius. Malgré son talent et son pouvoir magique d’arrêter le temps, César Catilina n’a jamais été si menacé…

« Ô temps, suspends ton vol ! et vous, heures propices, suspendez votre cours ! » (Lamartine)/ Photo : © Lionsgate

Parler de ce film comme d’un chef-d’œuvre serait un non-sens étant donné que la carrière de Coppola dans son ensemble tient déjà du chef-d’œuvre. Avancer a contrario que Megalopolis est un échec artistique serait tout aussi grotesque et vain. Cette opinion a pourtant été largement professée lors du Festival de Cannes par un public en ayant pourtant vu d’autres, étonnamment désarçonné par la dernière réalisation du cinéaste. Tout ce qui est excessif étant insignifiant, la sagesse enjoindrait de se défier de l’une comme de l’autre de ces jugements absolus. Avec Coppola plus que pour n’importe qui d’autre, un paramètre bien spécifique entre ligne de compte : le temps.

Arbitre ultime, le temps a déjà rendu justice à l’auteur d’Apocalypse Now ou de Coup de cœur. Gageons donc qu’il le fera encore pour L’Homme sans âge, Tetro, Twixt et enfin Megalopolis, sa production du XXIe siècle. Peut-être modeste en volume au regard de ce qu’il a pu offrir dans les années 1970 ou 1980, mais d’une égale densité, façonnée avec le même désir de pousser le médium cinématographique dans ses retranchements — à quoi bon tourner et engloutir une partie de sa fortune, sinon ? Le temps, enfin, étant en sus un acteur du récit, il est ici son allié objectif.

New Rome Story

À l’instar de Tucker(1988), Megalopolis peut se déchiffrer comme une auto-biographie décentrée, transposée à un alter ego, créateur de génie, partageant le même rêve prométhéen ou démiurgique et tout aussi malmené par ses contemporains et les financiers. Et le fait qu’il soit ici architecte n’est sans doute pas anodin : pays à l’Histoire réduite en regard des autres puissances ou civilisations, les États-Unis modernes ont symboliquement assis leur domination psychologique via le bâti et d’imposants gestes architecturaux dont les plus manifestes sont les gratte-ciel. 

Après plus de 20 ans de production, le comptable commence à faire les comptes © Lionsgate

Quintessence de cet étalage de surpuissance babélique, New York ou Chicago se retrouvent régulièrement transposés en Metropolis pour Superman, Gotham City pour Batman ou ici dans l’uchronique New Rome. Quant aux architectes, artistes produisant des œuvres utilitaires qui s’ancrent dans le sol, tutoient le ciel et défient réellement le temps, ils deviennent dans l’inconscient américain les équivalents des Pères fondateurs. Chefs d’orchestres épris de lignes pures et d’avant-garde, ils fascinent souvent les cinéastes qui les voient comme leurs semblables et les célèbrent dans leurs films. Pour leur individualisme et leur intégrité artistique (voir Le Rebelle, 1949 de King Vidor) ou leurs réalisations (Frank Lloyd Wright chez Hitchcock, Frank Gehry chez Pollack…)

Évidemment qu’il y a de la fascination pour le jusqu’au-boutisme de César Catilina dans Megalopolis, autant que pour cette transposition de Rome antique glissant vers la décadence. Avec ses élites corrompues vivant dans la consanguinité et les intrigues, ses tribuns populistes manipulant les masses et les abreuvant de jeux du cirque, New Rome n’a rien à envier aux États-Unis actuels, surtout en période électorale.

Art gratia artis

Capable de bloquer le temps (et le temps, c’est de l’argent…), César Catilina a en sus des visées sociales avec son projet Megalopolis. Artiste, esthète roulant en DS, idéaliste donc gêneur… L’addition commence à être lourde pour l’architecte. Écrin de son chemin de croix, le film de Coppola montre que le cinéaste n’a renoncé à aucune ambition, ni rien perdu de son art lorsqu’il s’agit de filmer l’antichambre du chaos. De savants amalgames de lumières sculptent les visages et les ombres, animent les bas-fonds et ses cauchemars tandis que des fantômes et des mirages ébranlent les murs de cette Babylone postmoderne.

Beau à voir, Megalopolis l’est aussi à vivre puisqu’il présente — dans la version que nous avons vue — une expérience “d’outre-cinéma” en convoquant la vie en direct dans le dispositif de la projection. Un peu comme si le réalisateur tenait à rappeler qu’à l’intérieur des œuvres, fussent-elles pharaoniques, des gens en chair en en os habitent. Ce “caprice“ tellement signifiant, qui d’autre que Coppola pouvait se l’offrir — et donc nous l’offrir ?

Megalopolis de Francis Ford Coppola (É.U, 2h18) avec Adam Driver, Giancarlo Esposito, Nathalie Emmanuel… En salle le 25 septembre 2024.

***

Riverboom de & avec Claude Baechtold

L’attentat contre le World Trade Center de 2001 eut entre autres conséquences sur la géopolitique mondiale de le remettre l’Afghanistan au centre de l’actualité… et donc de nécessiter que des journalistes se rendent sur le terrain pour documenter la réalité du pays. Davantage par hasard que par vocation (et muni d’une fausse accréditation professionnelle), Claude Baechtold, un typographe suisse peu téméraire se joint à deux reporters expérimentés pour faire la route jusqu’à Kaboul, puis photographier et filmer l’état des choses afghanes en cette année 2002…

‘ttention à la marche en sortant du bar / Photo © 2023 INTERMEZZO FILMS, RTS RADIO TÉLÉVISION SUISSE

Plus de vingt ans séparent le tournage de ce film de sa réalisation-finalisation, mais cela n’est pas volontaire. Comme l’explique Claude Baechtold dans les dernières minutes de Riverboom, ses rushes ont en effet été égarés pendant deux décennies avant d’être miraculeusement retrouvés. À quelque chose malheur est bon : le recul a offert au cinéaste un regard plus distancié sur les événements… Et il a permis à ce professionnel bien plus aguerri par l’expérience de tirer parti d’un matériau d’origine certes précieux d’un point de vue documentaire, mais de facture médiocre (et reconnue comme telle par l’intéressé).

Helvète underground

Même s’il s’avère un document rare sur la manière dont travaillent les envoyés spéciaux sur les zones de conflit, notamment en compagnie de leur fixeur-interprète (voire sans) ; comment les journalistes peuvent prendre des risques insensés sur le terrain afin de permettre à une information d’être portée à la connaissance du public, Riverboom est davantage qu’un reportage et un carnet de route sur un pays en proie à la guerre civile et au terrorisme. Il contient en parallèle le récit a posteriori des coulisses du voyage ainsi qu’un journal intime auto-psychanalytique de Claude Baechtold détaillant ses affects avec beaucoup, beaucoup de second degré. Cette dimension auto-réflexive (et volontiers sarcastique) contre sa personne aurait sans doute eu moins de saveur en 2002, l’apprenti cinéaste ayant quitté l’Afghanistan plus traumatisé qu’enclin à faire des blagues. 

Le montage et la voix-off décalée — dans l’esprit du célébrissime L’Île aux fleurs (1989) de Jorge Furtado — achèvent de rendre Riverboom captivant : aussi instructif que touchant, empli d’humour, sa simple existence illustre le concept de sérendipité. Ajoutons pour finir qu’il permet aussi à la jeune société de distribution Zinc. de s’offrir son film le plus réussi.

Riverboom de & avec Claude Baechtold (Sui., 1h39) documentaire avec également Paolo Woods, Serge Michel… En salle le 25 septembre 2024.

***

Au revoir : “Interstellar” de Christopher Nolan

Les Belles Créatures de Guðmundur Arnar Guðmundsson

Islande, au début du XXIe siècle. Sous l’impulsion du jeune Addi, un groupe de collégiens prend sous son aile Balli, un garçon harcelé, vivant dans une misère affective et sociale alarmante. S’il sort de son isolement, Balli partage aussi désormais les conséquences des brusques accès de violence du “chef“ de la bande Konni, qu’Addi a de plus en plus de mal à juguler…

Design islandais : une fenêtre DIY / Photo :©Outplay films

Remarqué en 2017 avec Heartstone – Un été islandais (qui traitait déjà de la situation de ses jeunes compatriotes les moins favorisés, abandonnés à eux-mêmes, aux tentations bonnes ou mauvaises comme à l’exclusion), Guðmundur Arnar Guðmundsson remet l’ouvrage sur le métier dans un contexte encore moins “carte postale“. L’ambiance quart-monde du film et les physionomies peu avantageuses de certains des malheureux gamins donnent un éclat tristement ironique au titre, Les Belles Créatures. Mais il ne faut pas se laisser rebuter ni parce que l’on voit — intérieurs misérables, regards bas, perspectives inexistantes, maltraitances diverses —, ce que l’on devine, ni par la violence omniprésente, mode d’expression autant que produit de l’ensemble des facteurs précédemment cités.

Violence des échanges en milieu déshérité

Physique, psychologique ou verbale, la violence n’est en aucun cas retranscrite à l’écran avec complaisance ni insistance. Elle apparaît certes sans tabou, dans toute sa crudité notamment quand Konni (alias L’Animal), lui-même enfant battu pète les plombs dans des crises d’une brutalité rare, pour mieux révéler l’impasse qu’elle constitue. En cela, la démarche de Guðmundsson rappelle celle de Peckinpah dans Les Chiens de paille (1971) : si elle existe et qu’on veut la combattre, il ne faut occulter ni ses causes, ni ses conséquences. 

Cela étant posé, Les Belles Créatures n’est pas qu’un bloc de noirceur condamnant à la déprime. Au-delà du constat d’une situation sinistre, le film relate le sauvetage de Balli et son épanouissement à travers une histoire d’amitié (un peu déjetée, soit) autant qu’il ménage des intermèdes oniriques permettant de sortir de la gangue ultra-réaliste. Ces “visions“ semi-prémonitoires apparaissant à Addi confèrent une part de magie au récit. Et même de beauté. 

Les Belles Créatures de Guðmundur Arnar Guðmundsson (Isl.-Dan., int.-12 ans, 2h03) avec Birgir Dagur Bjarkason, Áskell Einar Pálmason, Viktor Benóný Benediktsson… En salle le 25 septembre 2024.

***

Vivre, Mourir, Renaître de Gaël Morel

À l’aube du nouveau siècle, Sammy et Emma se rencontrent, s’aiment et s’installent ensemble même si Sammy confesse des aventures avec des garçons. Le couple sympathise vite avec un voisin photographe, Cyril, qui devient l’amant de Sammy. Les semaines passent et les jours heureux font place à des événements plus dramatiques quand Sammy découvre sa séropositivité. Et qu’il a contaminé Emma, enceinte de leur enfant…

Allégorie de la fragilité du bonheur / Photo : ©Arp Sélection

Gaël Morel a éprouvé le besoin d’écrire ce film dans l’urgence d’une hospitalisation, comme il l’a déclaré devant des exploitants lors des Rencontres de Charlieu, et ce n’est sans doute pas un hasard. S’il s’agit d’une œuvre générationnelle — à l’instar de son premier long À toute vitesse, sorti vingt-huit ans plus tôt jour pour jour… et le jour précis de l’anniversaire de son réalisateur — celle-ci se double d’un regard éminemment mélancolique en augmentant la dimension humaine et en abrasant la tentation égotiste. Dès le titre, Vivre, Mourir, Renaître lève de fait quelques hypothèques sur l’avenir de ses personnages… quand la jeunesse de 1996 ne pouvait s’offrir une quelconque projection dans le futur.

Du survivant

Entre chronique, stèle et témoignage, l’ambiance comme l’histoire renvoient donc à ces “années sida” si loin et si proches, avec la même acuité que les rares films-sommes ayant marqué leur époque et notre regard : citons, à rebours de la chronologie, Les Témoins (2007) de Téchiné ; Jeanne et le Garçon formidable (1998) de Ducastel et Martineau ainsi que naturellement Les Nuits fauves (1992) de Cyril Collard — film dont la dimension “romantique” demeure toujours ambiguë — auquel l’affiche fait ici écho. Gaël Morel propose une approche plus réaliste, sur ce que deviennent “ceux qui restent“ et leur descendance : si la vie a gagné, la culpabilité des survivants demeure, conférant au film une tonalité élégiaque.

Outre l’affiche pré-mentionnée, le cinéaste glisse quelques marqueurs discrets aux années 1980/1990 en intégrant à son générique les icônes Elli Medeiros et Amanda Lear ; Cyril pouvant de son côté évoquer un mixte entre Cyril Collard et Hervé Guibert. Ces figures ont le mérite de se fondre dans le récit sans interférer avec le parcours des personnages… mais c’est aussi parce que le trio choisi pour les interpréter consume l’écran de sa présence. D’où l’importance de la distribution…

Vivre, Mourir, Renaître de Gaël Morel (Fr, 1h49) avec Lou Lampros, Victor Belmondo, Théo Christine… En salle le 25 septembre 2024.

À lire également

Après Serge, Marco le mytho / © David Herranz
“Marco, l’énigme d’une vie” en salle le 14 mai 2025
Jon Garaño, en train de dire la vérité / Photo : © Vincent Raymond
Jon Garaño (“Marco, l’énigme d’une vie”) : « La fiction ne sert qu’à s’approcher au plus près de la réalité »
On voit bien qu'ils sont de mèche / Photo : © Pathé Films
“Partir un jour” en salle le 13 mai 2025
Chacun tient à l'autre comme la corde soutient le pendu / Photo : © Pyramide distribution
“Les Musiciens”, “Les Arènes”, “Un monde merveilleux” en salle le 7 mai 2025
Ils donnent l'impression d'être menés à la baguette / Photo : © Vincent Raymond
Grégory Magne & Frédéric Pierrot (“Les Musiciens”) : « Ce film, il va falloir le regarder avec les oreilles » 
Première leçon pour réussir son infiltration : se faire discret / Photo : © Guy Ferrandis
“Little Jaffna”, “Tu ne mentiras point”, “Une pointe d’amour”, “Les règles de l’art” en salle le 30 avril 2025

TAGGED: Adam Driver, Áskell Einar Pálmason, Birgir Dagur Bjarkason, Cannes 2024, Claude Baechtold, Critique, Francis Ford Coppola, Gaël Morel, Giancarlo Esposito, Guðmundur Arnar Guðmundsson, Les Belles Créatures, Lou Lampros, Megalopolis, Nathalie Emmanuel, Paolo Woods, Riverboom, Serge Michel, Théo Christine, Victor Belmondo, Viktor Benóný Benediktsson, Vivre Mourir Renaître
Vincent RAYMOND 16/03/2025 23/09/2024
Partager cet article
Facebook Twitter Whatsapp Whatsapp LinkedIn Email Copy Link

À LA UNE

Une jeunesse qui ne peut ni aller en cours, ni en courses © 2024 OREZANE FILMS - QUAD-TEN - GAUMONT - ORPHÉE FILMS

“Notre monde”, “Le Déserteur”, “Indivision”, “Le Mangeur d’âmes”, “N’avoue jamais”, “Frères” en salle le 24 avril 2024

Cinéma
11/09/2024
Jon Garaño, en train de dire la vérité / Photo : © Vincent Raymond

Jon Garaño (“Marco, l’énigme d’une vie”) : « La fiction ne sert qu’à s’approcher au plus près de la réalité »

Avec l’un de ses complices habituels Aitor Arregi, Jon Garaño s’est penché sur la figure…

14/05/2025
On voit bien qu'ils sont de mèche / Photo : © Pathé Films

“Partir un jour” en salle le 13 mai 2025

Revolution des Beatles existe en deux versions différentes sur 45t et sur 33t — le…

13/05/2025
Chacun tient à l'autre comme la corde soutient le pendu / Photo : © Pyramide distribution

“Les Musiciens”, “Les Arènes”, “Un monde merveilleux” en salle le 7 mai 2025

Un quatuor à la dérive, un joueur qui l’est un peu trop et des androïdes…

17/05/2025

VOUS AIMEREZ AUSSI

“Marco, l’énigme d’une vie” en salle le 14 mai 2025

Un imposteur ayant trompé l’Espagne en s’inventant un passé est dans nos salles cette semaine. Entre autres… Espagne, à l’aube…

CinémaLa Une
17/05/2025

Jon Garaño (“Marco, l’énigme d’une vie”) : « La fiction ne sert qu’à s’approcher au plus près de la réalité »

Avec l’un de ses complices habituels Aitor Arregi, Jon Garaño s’est penché sur la figure d’une personnalité ayant défrayé la…

CinémaEntretienLa Une
14/05/2025

“Partir un jour” en salle le 13 mai 2025

Revolution des Beatles existe en deux versions différentes sur 45t et sur 33t — le fameux double blanc The Beatles.…

CinémaLa Une
13/05/2025

“Les Musiciens”, “Les Arènes”, “Un monde merveilleux” en salle le 7 mai 2025

Un quatuor à la dérive, un joueur qui l’est un peu trop et des androïdes à tout faire débarquent de…

CinémaLa Une
17/05/2025

Stimento culture & art de vivre, autrement. Pourquoi ? Parce que s’il traite de l’actualité culturelle la plus large et généreuse, s’il aborde la gastronomie, le design, le patrimoine, le tourisme et le shopping, Stimento s’intéresse également à toutes les questions citoyennes et solidaires d’avenir.

  • Contact
  • Mentions légales
  • Politique de confidentialité
  • À propos de nous

Nous suivre : 

STIMENTO

culture & art de vivre, autrement

Stimento
Gérer le consentement
Pour offrir les meilleures expériences, nous utilisons des technologies telles que les cookies pour stocker et/ou accéder aux informations des appareils. Le fait de consentir à ces technologies nous permettra de traiter des données telles que le comportement de navigation ou les ID uniques sur ce site. Le fait de ne pas consentir ou de retirer son consentement peut avoir un effet négatif sur certaines caractéristiques et fonctions.
Fonctionnel Toujours activé
L’accès ou le stockage technique est strictement nécessaire dans la finalité d’intérêt légitime de permettre l’utilisation d’un service spécifique explicitement demandé par l’abonné ou l’utilisateur, ou dans le seul but d’effectuer la transmission d’une communication sur un réseau de communications électroniques.
Préférences
L’accès ou le stockage technique est nécessaire dans la finalité d’intérêt légitime de stocker des préférences qui ne sont pas demandées par l’abonné ou l’internaute.
Statistiques
Le stockage ou l’accès technique qui est utilisé exclusivement à des fins statistiques. Le stockage ou l’accès technique qui est utilisé exclusivement dans des finalités statistiques anonymes. En l’absence d’une assignation à comparaître, d’une conformité volontaire de la part de votre fournisseur d’accès à internet ou d’enregistrements supplémentaires provenant d’une tierce partie, les informations stockées ou extraites à cette seule fin ne peuvent généralement pas être utilisées pour vous identifier.
Marketing
L’accès ou le stockage technique est nécessaire pour créer des profils d’internautes afin d’envoyer des publicités, ou pour suivre l’utilisateur sur un site web ou sur plusieurs sites web ayant des finalités marketing similaires.
Gérer les options Gérer les services Gérer {vendor_count} fournisseurs En savoir plus sur ces finalités
Voir les préférences
{title} {title} {title}
Welcome Back!

Sign in to your account

Lost your password?