culture & art de vivre, autrement

Stimento
  • La Une
  • Brèves
  • Entretien
  • Cinéma
  • Livres
  • Saveurs
  • Ici & Ailleurs
  • Musique
  • Dans le rétro
  • Tous les articles
Reading: “L’Amour c’est surcoté”, “Familia”, “Mexico 86”, “Des jours meilleurs”, “La Chambre de Mariana” en salle le 23 avril 2025
Partager
Aa
StimentoStimento
  • La Une
  • Entretien
  • Cinéma
  • Brèves
  • Ici & Ailleurs
  • Saveurs
  • Livres
  • Tous les articles
Search
Follow US
Made by ThemeRuby using the Foxiz theme. Powered by WordPress
Tous les articles > Cinéma > “L’Amour c’est surcoté”, “Familia”, “Mexico 86”, “Des jours meilleurs”, “La Chambre de Mariana” en salle le 23 avril 2025
CinémaLa Une

“L’Amour c’est surcoté”, “Familia”, “Mexico 86”, “Des jours meilleurs”, “La Chambre de Mariana” en salle le 23 avril 2025

Dernière modification le 24/04/2025 à 15:21
Par Vincent RAYMOND Publié le 24/04/2025
Partager
Temps de lecture : 16 min.
Être en couple, c'est pouvoir se reposer l'un sur l'autre / Photo : © Iconoclast
Être en couple, c'est pouvoir se reposer l'un sur l'autre / Photo : © Iconoclast

Des histoires de cœur(s), de familles, d’addiction et de guerre se croisent dans les salles cette semaine. Entre autres…

Sommaire
L’Amour c’est surcoté de Mourad WinterFamilia de Francesco CostabileMexico 86 de César Díaz Des jours meilleurs de Elsa Bennett & Hippolyte DardLa Chambre de Mariana de Emmanuel Finkiel

L’Amour c’est surcoté de Mourad Winter

Trentenaire habitué au vide abyssal sentimental, Anis est de surcroît plombé par la perte de son meilleur pote d’enfance survenue il y a trois ans. Pour se changer les idées, il sort en boîte et croise Madeleine, une fille peu conventionnelle, qui va le mettre au défi de la retrouver. Peu à peu, l’ébauche d’une relation va naître entre eux malgré la tendance d’Anis à se dissimuler derrière les mythos, les vannes et sa pudeur…

Fallait pas l’inviter / Photo : © Iconoclast

À la lecture du palmarès d’un festival, il n’est pas rare que l’on soit interloqué par la formulation d’un prix — en général, parce qu’il reconnaît des qualités passe-partout ou un peu trop cryptiques à un film. En décernant leur “Mention Spéciale du Jury” à L’Amour, c’est surcoté, les juré de l’Alpe d’Huez ont judicieusement agi. D’abord, parce que ce film mérite amplement cette épithète de “spécial” (à comprendre comme “original”, “singulier”, “novateur”, “rafraichissant”) ; ensuite parce qu’il se devait de figurer parmi les lauréats, tous moins centrés sur la “comédie pure” que sur des relations affectives et/ou sentimentales repensées, en phase avec cette nouvelle gentillesse prônée par Karim Leklou lors de l’attribution de son César.

Éloge du mâle bêta

Adaptant ici son roman, 🔗Mourad Winter ose quelque chose d’inattendu : la romcom dans le cadre peu coutumier d’une banlieue, en choisissant de surcroît un serial loser sentimental chambré par sa bande de potes. Cerise sur le gâteau, sa dulcinée s’avère davantage princesse que Cendrillon, ce qui ajoute à ses complexes et traumas de mâle plus bêta qu’alpha, une possibilité de devenir un transfuge de classe. Certes, l’inversion des clichés n’est pas totalement nouvelle (Coup de foudre à Notting Hill) mais l’inscription dans ce cadre socio-urbain a le mérite de rebattre les cartes des rapports masculin/féminin et de torpiller  le virilisme à front de taureau. 

Rythmé par l’osmose assez stupéfiante entre Hakim Jemili et Laura Felpin (confirmant après Joli Joli sa prometteuse inflexion) et un montage dynamique, L’Amour c’est surcoté bénéficie d’un autre atout : sa cohorte de second rôles. D’Abbes Zahmani à Steve Tientcheu, en passant par Clotilde Courau, cette (belle et) éclectique distribution est toutefois dominée par Benjamin Tranié, franchement hilarant dans le rôle de Paulo, le meilleur pote. Gatling à saillies racistes, il est un peu l’équivalent du faire-valoir infréquentable joué par Rhys Ifans dans Notting Hill. Mais ses provocations sont, tout autant que les pirouettes et vannes incessantes d’Anis, des paravents dissimulant sa fragilité de célibataire. Ne passez pas à côté.

L’Amour c’est surcoté de Mourad Winter (Fr., 1h38) avec Hakim Jemili, Laura Felpin, Benjamin Tranié, Abdulah Sissoko, Clotilde Courau, Abbes Zahmani, Steve Tientcheu… En salle le 23 avril 2025.

***

Familia de Francesco Costabile

Rome, années 1980. Victime de Franco, son époux violent, Licia obtient une mesure d’éloignement lui permettant d’élever ses deux enfants Gigi et Alessandro à l’abri de cette brute invétérée. Une décennie plus tard, alors que Gigi évolue dans la mouvance néo-fasciste, Franco refait surface dans leur vie comme si de rien n’était et prétend revenir dans le giron familial. Mais a-t-il changé ?

À pouce que veux-tu… / Photo : © Damned Films

S’il fallait résumer sommairement Familia par un proverbe, ce serait : « les chats ne font pas des chiens » ; si l’on devait user d’une parabole, 🔗celle du scorpion et de la grenouille telle que la raconte Orson Welles dans Mr. Arkadin (1955). Car ni Franco, ni Gigi ne peuvent s’empêcher d’être ce qu’ils sont ; de réprimer leur jalousie ni leur brutalité. Cela étant posé, Francesco Costabile ne se borne pas ici à décrire la reproduction d’une violence intra-familiale : bien qu’étant un sujet en soi, l’argument serait un peu mince et surtout — hélas — rebattu. Le cinéaste montre comment la mouvance néo-fasciste détecte et enrôle ses proies susceptibles de présenter ce caractère explosif dans le but d’attiser leur colère à des fins politiques et séditieuses.

Mecs plus ultra

Cette thématique de l’endoctrinement de jeunes hommes (issus de foyers populaires, adeptes d’activités sportives et viriles, souvent élevés par des parents célibataires) n’est pas sans rappeler l’argument de 🔗Jouer avec le feu des sœurs Coulin… mais en plus subtil puisque l’imprégnation radicale n’est pas ici l’alpha et l’omega et que: la porosité de Gigi à cette idéologie découle d’un conditionnement atavique. Dans sa complexité trouble, le rapport père/fils peut rappeler celui qui sous-tendait le trop méconnu At Close Range de James Foley (1986), interrogeant également les questions de loyauté et d’hérédité toxique dans un milieu de délinquants.

Construit comme une tragédie grecque (c’est-à-dire avec une issue en forme d’impasse) Familia a cependant le grand mérite d’être imprévisible dans ses développements et rebondissements : si l’on se doute que le fatum frappera, on ignore quand et comment. Mention particulière à l’interprète du père, Francesco Di Leva, qui insuffle en permanence une tension sourde, même lorsqu’il semble apaisé.

Familia de Francesco Costabile (It., 2h04) avec Francesco Gheghi, Barbara Ronchi, Francesco Di Leva… En salle le 23 avril 2025

***

Mexico 86 de César Díaz 

1986. Alors que le Guatemala vit en pleine guerre civile, Maria a dû s’exiler au Mexique sous une fausse identité afin de poursuivre son action militante. Ce faisant, elle a confié son fils Marco à sa propre mère pour éviter qu’il ne soit expédié dans une “ruche” à Cuba — une pension regroupant les enfants des activistes. Un acte de rébellion vis-à-vis de sa hiérarchie et des règles, qu’elle transgresse par ailleurs quand elle prend le risque d’aller voir ou de faire venir son fils…

Mater dolorosa / Photo : © BAC Films

Découvert avec Nuestras Madres (récompensé par la Caméra d’Or 2019 mais hélas pour lui victime collatérale du Covid 19 qui l’avait contraint à sortir en SVOD l’année suivante), le cinéaste guatémaltèque César Díaz continue à exhumer les cadavres empilés dans les placards de son pays. Un pays n’ayant toujours pas apuré ses comptes avec sa propre histoire. Personnellement concerné par le sujet, il use du cinéma comme le Chilien Patricio Guzmán le fit jadis, en position de témoin et de passeur. Mexico 86 s’inspire en effet vaguement de sa propre enfance et de la figure de sa propre mère, même s’il ne revendique pas un autobiopic.

Son fils, sa bataille

Montrant la vie de bêtes traquées des opposants guatémaltèques, ce thriller politique révèle avec la facilité avec laquelle les émissaires de la junte alors au pouvaient les persécuter et exécuter dans les pays étrangers où ils avaient trouvé refuge (ainsi qu’une nouvelle identité). À croire qu’à l’époque des dictature sud-américaines, le terrorisme d’État jouissait des prérogatives octroyées aux diplomates — voir 🔗They Shot The Piano Player.  Mais il n’y a pas que cette dimension édifiante, costa-gavresque oserait-on dire, dans le film de César Díaz gravitant autour de la relation entre Maria et son fils, a priori impossible pour une révolutionnaire qui doit se défaire de toute attache familiale. Mais puisqu’une révolution part du postulat qu’il faut remettre en cause des règles instaurées, pourquoi ne pas contester celle qui voudrait qu’un fils soit séparé de sa mère, au motif qu’elle est dans la clandestinité ?

Très convaincante dans son double, triple rôle de mère/activiste/employée de journal tentant de faire connaître la situation de son pays, Bérénice Bejo trouve dans le jeune Matheo Labbé un excellent partenaire, évoluant sur un registre totalement différent : Marco vit en effet a contrario dans une conscience partielle des dangers environnants, créant malgré lui des situations de péril dont il ne mesure pas la portée du haut de ses 10 ans. Par ses imprudences d’enfant déréglant la machine militaire qui régente la sécurité de sa mère (et de son mouvement), il instille un aléa terrible, mais rappelle aussi ce que c’est que de vivre — ce pourquoi elle se bat, au fond.

Mexico 86 de César Díaz (Bel.-Fr., 1h33) avec Bérénice Bejo, Matheo Labbe, Leonardo Ortizgris, Julieta Ergurrola… En salle le 23 avril 2025.

***

“Deadpool & Wolverine” en salle le 24 juillet 2024
Trending
“Deadpool & Wolverine” en salle le 24 juillet 2024

Des jours meilleurs de Elsa Bennett & Hippolyte Dard

Mère célibataire depuis la mort de son époux, Suzanne a trouvé dans l’alcool la béquille illusoire pour tenir au quotidien. Un jour, c’est la goutte de trop : un accident de voiture avec les enfants et une syncope au boulot. Pour espérer retrouver leur garde, elle doit suivre une cure dans un centre de désintoxication alcoolique. Sur place, en compagnie d’autres malades, elle participe au défi lancé par un intervenant extérieur : monter une équipe pour participer à un rallye automobile au Maroc…

« Dans ma veste de soie rose/Je déambule morose » (Christophe/Jean Michel Jarre)/ Photo : © Production Dai Dai Films/Les Gens.

Ce film à quatre mains et aussi un film double, voire doublement double. Du bon côté des choses,
🔗l’incorporation de séquences donnant voix au chapitre aux personnages secondaires, dans lesquelles elles racontent leur itinéraire d’alcooliques; Placés comme des respirations scandant le récit, ces témoignages-confessionnal ancrent davantage celles qui s’expriment dans le réel en réinjectant du naturel, même s’il est brutal (ou tragique, ou comique) à entendre.

Boire ou conduire

A contrario, la dichotomie entre vie au quotidien dans le centre de soins/course au Maroc n’est guère emballante : on devine (et comprend) l’intention de rendre un drame social aride un peu sexy en l’hybridant avec l’expédition improbable de pieds nickelées au Maroc. S’il constitue le morceau de bravoure du film, à la fois décalé et spectaculaire, il donne lieu tout au long de sa préparation et lors de son déroulement, à une série de gags et d’effets convenus quand ils ne sont pas prévisibles — tout ça pour ça…

Restons plutôt sur l’intérêt prophylactique de Des jours meilleurs qui, comme The Lost Weekend de Billy Wilder (1946), Le Dernier pour la route de Philippe Godeau (2009) ou La Fête est finie de Marie Garel-Weiss, dont on vient d’apprendre la disparition (2017), raconte l’enfer de l’intoxication alcoolique ou aux stupéfiants et la non moins problématique question de la désintoxication en centre. À chaque fois, le titre est évocateur…

Des jours meilleurs de Elsa Bennett & Hippolyte Dard (Fr., 1h44) avec Valérie Bonneton, Michèle Laroque, Sabrina Ouazani, Clovis Cornillac… En salle le 23 avril 2025.

***

La Chambre de Mariana de Emmanuel Finkiel

1943, en Ukraine. Une nuit, la mère du jeune Hugo mène son fils vers une maison inconnue afin de le confier aux bons soins de Mariana. Prostituée dans un bordel, celle-ci cache Hugo dans le placard de sa chambre, lui intimant de ne pas faire le moindre bruit pour leur sécurité à tous les deux…

Elle, au lit ; lui, il lit / Photo : © Cinefrance Studios – Curiosa Films – Metro Communications – United King Films – Proton Cinema – Tarantula – Arte France Cinema

« La guerre, la guerre, toujours recommencée ! », pourrait-on dire en parodiant Valéry à propos de la Seconde Guerre mondiale. Verrue du XXe siècle, cette abomination est la colonne vertébrale de l’œuvre de Emmanuel Finkiel qui l’ausculte et la dissèque sous différentes facettes. Après avoir travaillé avec les survivants à ses débuts dans des fictions-documentarisantes, voici qu’il se replie sur des reconstitutions plus classiques ; des adaptations littéraires de témoignages, d’expériences vécues durant le conflit — La Chambre de Mariana, tiré d’Aharon Appelfeld, arrive après La Douleur, transposé de Duras.

Sans lui faire injure, Finkiel se montre moins inspiré dans l’exercice de l’adaptation, livrant des films au maniérisme froid donnant la détestable impression qu’ils servent d’écrin non à l’interprétation mais à la recherche de performance de sa comédienne fétiche, Mélanie Thierry — on ressent en effet comme une insistance à mettre en avant l’actrice devant le personnage, en dépit de la logique. Ajoutez les artifices maladroits censés donner l’illusion du temps qui passe (la perruque douteuse du jeune Hugo indiquant que ses cheveux ont poussé…) et l’on perd le fil de ce qui devrait être l’essentiel ici : l’émotion — et non la démonstration.

La Chambre de Mariana de Emmanuel Finkiel (Fr.-Bel.-Hon.-Isr.-Port., 1h43) avec Mélanie Thierry, Artem Kyryk, Julia Goldberg… En salle le 23 avril 2025.

À lire également

Chacun tient à l'autre comme la corde soutient le pendu / Photo : © Pyramide distribution
“Les Musiciens”, “Les Arènes”, “Un monde merveilleux” en salle le 7 mai 2025
Ils donnent l'impression d'être menés à la baguette / Photo : © Vincent Raymond
Grégory Magne & Frédéric Pierrot (“Les Musiciens”) : « Ce film, il va falloir le regarder avec les oreilles » 
Première leçon pour réussir son infiltration : se faire discret / Photo : © Guy Ferrandis
“Little Jaffna”, “Tu ne mentiras point”, “Une pointe d’amour”, “Les règles de l’art” en salle le 30 avril 2025
Lawrence Valin, un vrai meneur d'équipe/ Photo ©Guy Ferrandis
Lawrence Valin (“Little Jaffna“): « Je ne l’ai pas pensé comme un premier film, mais comme mon dernier film » 
50% d'une coréalisation, c'est le verre à moitié plein / Photo : © Vincent RAYMOND
Elsa Bennett (“Des jours meilleurs”) : « Au départ, personne ne voulait y aller »
"Je suis très timide, en vrai” (Mourad Winter) / Photo : © Vincent RAYMOND
Mourad Winter (“L’amour, c’est surcoté”) : « Je sens quand la vanne est bien délivrée »

TAGGED: Abbes Zahmani, Abdulah Sissoko, Alcool, Alcoolisme, Artem Kyryk, Barbara Ronchi, Benjamin Tranié, Bérénice Bejo, Biopic, César Díaz, Clotilde Courau, Critique, Des jours meilleurs, Elsa Bennett, Emmanuel Finkiel, Familia, Festival de l'Alpe d'Huez 2025, Francesco Costabile, Francesco Di Leva, Francesco Gheghi, Guatemala, Hakim Jemili, Hippolyte Dard, Julia Goldberg, Julieta Ergurrola, L’Amour c’est surcoté, La Chambre de Mariana, Laura Felpin, Leonardo Ortizgris, Matheo Labbe, Mélanie Thierry, Mexico 86, Michèle Laroque, Mourad Winter, Sabrina Ouazani, Steve Tientcheu, Valérie Bonneton
Vincent RAYMOND 24/04/2025 24/04/2025
Partager cet article
Facebook Twitter Whatsapp Whatsapp LinkedIn Email Copy Link

À LA UNE

Une jeunesse qui ne peut ni aller en cours, ni en courses © 2024 OREZANE FILMS - QUAD-TEN - GAUMONT - ORPHÉE FILMS

“Notre monde”, “Le Déserteur”, “Indivision”, “Le Mangeur d’âmes”, “N’avoue jamais”, “Frères” en salle le 24 avril 2024

Cinéma
11/09/2024
Ils donnent l'impression d'être menés à la baguette / Photo : © Vincent Raymond

Grégory Magne & Frédéric Pierrot (“Les Musiciens”) : « Ce film, il va falloir le regarder avec les oreilles » 

Quatre solistes en quête d’unité retrouvent l’harmonie grâce au compositeur de l’œuvre qu’ils doivent interpréter.…

05/05/2025
Première leçon pour réussir son infiltration : se faire discret / Photo : © Guy Ferrandis

“Little Jaffna”, “Tu ne mentiras point”, “Une pointe d’amour”, “Les règles de l’art” en salle le 30 avril 2025

Un policier infiltré dans un gang, un charbonnier moral, trois pieds nickelés de la cambriole…

02/05/2025
Lawrence Valin, un vrai meneur d'équipe/ Photo ©Guy Ferrandis

Lawrence Valin (“Little Jaffna“): « Je ne l’ai pas pensé comme un premier film, mais comme mon dernier film » 

Objet audacieux dans le paysage cinématographique français, “Little Jaffna” est un polar sur fond de…

11/05/2025

VOUS AIMEREZ AUSSI

“Les Musiciens”, “Les Arènes”, “Un monde merveilleux” en salle le 7 mai 2025

Un quatuor à la dérive, un joueur qui l’est un peu trop et des androïdes à tout faire débarquent de…

CinémaLa Une
10/05/2025

Grégory Magne & Frédéric Pierrot (“Les Musiciens”) : « Ce film, il va falloir le regarder avec les oreilles » 

Quatre solistes en quête d’unité retrouvent l’harmonie grâce au compositeur de l’œuvre qu’ils doivent interpréter. Telle est l’intrigue du nouveau…

CinémaEntretienLa UneMusique
05/05/2025

“Little Jaffna”, “Tu ne mentiras point”, “Une pointe d’amour”, “Les règles de l’art” en salle le 30 avril 2025

Un policier infiltré dans un gang, un charbonnier moral, trois pieds nickelés de la cambriole et deux fois Julia Piaton…

CinémaLa Une
02/05/2025

Lawrence Valin (“Little Jaffna“): « Je ne l’ai pas pensé comme un premier film, mais comme mon dernier film » 

Objet audacieux dans le paysage cinématographique français, “Little Jaffna” est un polar sur fond de politique au sein de la…

CinémaEntretienLa Une
11/05/2025

Stimento culture & art de vivre, autrement. Pourquoi ? Parce que s’il traite de l’actualité culturelle la plus large et généreuse, s’il aborde la gastronomie, le design, le patrimoine, le tourisme et le shopping, Stimento s’intéresse également à toutes les questions citoyennes et solidaires d’avenir.

  • Contact
  • Mentions légales
  • Politique de confidentialité
  • À propos de nous

Nous suivre : 

STIMENTO

culture & art de vivre, autrement

Stimento
Gérer le consentement
Pour offrir les meilleures expériences, nous utilisons des technologies telles que les cookies pour stocker et/ou accéder aux informations des appareils. Le fait de consentir à ces technologies nous permettra de traiter des données telles que le comportement de navigation ou les ID uniques sur ce site. Le fait de ne pas consentir ou de retirer son consentement peut avoir un effet négatif sur certaines caractéristiques et fonctions.
Fonctionnel Toujours activé
L’accès ou le stockage technique est strictement nécessaire dans la finalité d’intérêt légitime de permettre l’utilisation d’un service spécifique explicitement demandé par l’abonné ou l’utilisateur, ou dans le seul but d’effectuer la transmission d’une communication sur un réseau de communications électroniques.
Préférences
L’accès ou le stockage technique est nécessaire dans la finalité d’intérêt légitime de stocker des préférences qui ne sont pas demandées par l’abonné ou l’internaute.
Statistiques
Le stockage ou l’accès technique qui est utilisé exclusivement à des fins statistiques. Le stockage ou l’accès technique qui est utilisé exclusivement dans des finalités statistiques anonymes. En l’absence d’une assignation à comparaître, d’une conformité volontaire de la part de votre fournisseur d’accès à internet ou d’enregistrements supplémentaires provenant d’une tierce partie, les informations stockées ou extraites à cette seule fin ne peuvent généralement pas être utilisées pour vous identifier.
Marketing
L’accès ou le stockage technique est nécessaire pour créer des profils d’internautes afin d’envoyer des publicités, ou pour suivre l’utilisateur sur un site web ou sur plusieurs sites web ayant des finalités marketing similaires.
Gérer les options Gérer les services Gérer {vendor_count} fournisseurs En savoir plus sur ces finalités
Voir les préférences
{title} {title} {title}
Welcome Back!

Sign in to your account

Lost your password?